dans le cadre de la rétrospective " Le secret au cinéma ".
Avec Catherine Kerbrat-Orecchioni
Tant qu’il n’est pas « dévoilé », un secret est difficilement susceptible d’une analyse sémiotique. Mais il le devient dès lors qu’il est communiqué : on appelle confidence la « communication d’un secret qui concerne soi-même » (Le Petit Robert 2013), et c’est donc à ce type particulier d’activité discursive que nous allons nous intéresser.
Les confidences peuvent survenir dans toutes sortes de situations de la vie ordinaire, mais elles sont aussi bien présentes dans les textes de fiction et pièces de théâtre, romans et romans-photos, films et téléfilms, bandes dessinées, etc. À partir d’exemples empruntés à ces différents types de discours, on tentera de dégager les principales caractéristiques, formelles fonctionnelles, de la confidence. Voir le diaporama de la conférence